FONDETTES
MONT SAINT-MICHEL 2001
PAR LA BAIE
------
Nous partons de Fondettes par une nuit sans lune à 3h10 du matin sous le regard attendri d'Esther. Il ne fait pas froid pour la saison mais nous trouvons quelques averses de courte durée avant Savigné sur Lathan.
Nous faisons une pause pipi à Savigné.
Nous profitons ensuite de belles éclaircies sous un ciel étoilé avec un petit peu de lune au dernier quartier en fin de nuit.
En effet, le dernier quartier de la lune n'est toujours visible qu'à partir de la fin de la nuit.
Le vent de face est bien établi à cause de la dépression qui est centrée sur l'Angleterre et de l'anticyclone qui est situé assez haut sur l'Atlantique.
La lampe de Jean-Claude tombe en panne après deux heures de route mais il a une lampe brassard rouge et blanche à la cheville. Ce genre de lampe constitue un bon moyen de signalisation de secours.
Je dispose personnellement d'une lampe cyclo fixée sur le guidon, d'une lampe 4,5V fixée sur la fourche et en secours, j'ai l'éclairage par d y n a m o et aussi une lampe frontale.
Alain dispose d'une lampe cyclo et d'une lampe frontale. Jean-Pierre dispose d'une lampe cyclo fixée sur la fourche.
Alain, Jean-Pierre et moi disposons de lampes de type LEDS à l'arrière.
Nous arrivons à Baugé vers 7 heures après avoir traversé la belle forêt de Chandelais .
Cette première étape ne nous a pas parue trop longue, bien qu'il fasse encore nuit.
Nous n'avons pas été gênés par les voitures. Notre éclairage est suffisant sur les routes disposant de lignes blanches mais la visibilité est moins bonne sur les routes ne disposant que de points blancs espacés comme cela a été le cas sur la majorité du parcours, surtout dans le pays Baugeois.
Nous prenons un petit déjeuner léger près du kiosque à musique, sur la place Ferrières à Baugé. Jean-Claude et Jean-Pierre préfèrent ne rien manger car ils n'ont rien prévu.
Le ciel s'éclaire peu de temps après avoir quitté Baugé. C'est bien agréable de retrouver le jour en traversant la forêt de Baugé.
Il fait grand jour lorsque nous traversons Durtal, dominé par son château à mâchicoulis et ses toits en poivrières au bord du Loir bordé de moulins.
Alain a un petit problème de fixation du porte bagages vite réglé.
Le vent est de face mais il n'est pas trop fort.
Jean-Pierre casse une patte de fixation de son garde-boue arrière à Précigné. Cela ne l'empêche pas de rouler jusqu'à Sablé où il effectue une réparation de fortune avec du fil de fer.
Nous arrivons en bonne forme à Sablé.
Nous longeons le port sur la Sarthe dominée par le Château des Colbert qui est utilisé pour conserver les documents de la Bibliothèque Nationale.
Nous prenons un bon petit déjeuner au bar-tabac du Globe, place Raphaël Elisé à Sablé, avec les pains aux raisins achetés à La Mie de Pains, en face du bar.
Il y a beaucoup de clients qui boivent un café avant d'aller au travail en ce vendredi matin.
Nous faisons quelques commentaires sur le caractère agro-alimentaire de la région. Jean-Claude précise qu'il connaît bien ce domaine du fait qu'il gère le client RIA chez Mame.
Nous sommes bien mais il faut repartir.
Nous rencontrons maintenant plus de circulation sur les routes rectilignes du département de la Mayenne avec, en particulier, d'assez nombreux camions qui livrent des aliments dans cette région d'élevage.
Après avoir passé la rivière l'Erve, nous montons la côte de Ste Suzanne, ville historique qui résista avec succès à Guillaume Le Conquérant.
Nous nous arrêtons quelques instants devant la basilique Notre-Dame à Evron où nous rencontrons un cyclotouriste local de Laval.
Nous décidons de déjeuner à Mayenne.
Nous repartons par la rue Ste Gemmes.
Quatorze kilomètres après Evron, nous passons à Jublains, près des ruines du 3ème siècle qui comportent des fortifications de 126 mètres sur 115, neuf tours, un impluvium et des thermes.
Le cyclotouriste de Laval nous rattrape quelques kilomètres avant Mayenne et il se met gentiment devant nous pour nous couper le vent.
La fatigue commence à se faire sentir et je suis content d'arriver à Mayenne pour la pause déjeuner.
Nous déjeunons à la brasserie "La Renaissance", sur la place Clémenceau. Nous y avons déjà déjeuné au cours des années précédentes mais cette fois-ci, la cuisine n'est pas bonne du tout. Il doit y avoir eu un changement de cuistot.
Après Mayenne, les petites routes sont plus difficiles et Jean-Pierre peine un peu.
Il y a beaucoup de voitures et de camions sur la route entre Gorron et Levaré. Je fais un contrôle sur la carte pour vérifier que c'est bien la bonne route. Il n'y a pas d'erreur mais la circulation sur ces routes départementales est très différente la semaine par rapport au week-end.
Lorsque nous reprenons des petites routes après Levaré, nous retrouvons la tranquillité.
Nous faisons une pause au bar de Landivy.
A Saint-Georges, nous tournons à droite pour des routes plus petites encore, mais qui ne comportent que des montées et des descentes.
J'ai été obligé de faire un itinéraire assez compliqué avant l'arrivée au gîte pour ne pas rouler sur les nombreuses voies rapides qui ont été construites à proximité d'Avranches.
La route nous offre de belles vues sur le Mont Saint-Michel dans le soleil couchant.
Nous arrivons à 19h50 au gîte de Bas-Courtils où nous sommes bien accueillis par nos amis.
Une des voitures n'est pas encore arrivée, ce qui nous laisse largement le temps de prendre une douche et de nous installer tranquillement, avant de prendre un bon punch préparé par Maurice.
Nous nous régalons ensuite avec les huîtres, le couscous, les fromages, les desserts, les bons vins etc…
Samedi 15 septembre 2001
Nous traversons la baie du Mont-Saint-Michel de la pointe du Bec d'Andaine jusqu'au Mont-Saint-Michel en passant par le Nord de l'île de Tombelaine.
Nous pique-niquons au pied du Mont avant de le visiter et de rentrer à pied par les polders de prés salés.
Après un bon dîner comportant notamment de l'excellent gigot de mouton de pré salé, nous nous couchons à une heure raisonnable.
Le vent de nord-ouest est maintenant très fort.
La baie du mont Saint-Michel |
Dimanche 16 septembre 2001
Après une bonne nuit, nous partons à 9h40 du gîte de Bas Courtils par des petites routes par un bon vent arrière.
Les nuages vont nous menacer toute la matinée mais nous ne subirons aucune pluie.
Nous visitons les hameaux et les petits villages de la région de bocage de Servon. C'est la campagne paisible et nous ne pouvons pas deviner que nous ne sommes qu'à quelques kilomètres de l'effervescence générée par le tourisme du Mont-Saint-Michel.
Nous faisons quelques courses au Super-U de Saint James car c'est dimanche et il vaut mieux prendre nos précautions pour le déjeuner et le dîner.
Nos amis nous dépassent en voiture peu après St James. Nous allons pouvoir déjeuner ensemble un peu plus loin.
En haut d'une côte se trouve le Cimetière de Bretagne où sont enterrés 4410 combattants américains. Il y a une cérémonie probablement en raison des attentats qui ont touché les Etats-Unis et qui ont notamment provoqué l'effondrement du World Trade Center cinq jours plus tôt, le lundi 11 septembre.
Nous rencontrons un routard irlandais pittoresque sur un VTT délabré et incroyablement chargé.
Nous retrouvons nos amis qui nous attendent devant l'église de Louvigné du Désert au moment de la sortie de la messe. Ils ont trouvé l'excellent petit restaurant "Le Relais du Roc" qui remplacera le pique-nique initialement prévu.
Nous rangeons nos vélos dans le garage du restaurateur et nous nous attablons pour un excellent repas bien arrosé.
Nous reprenons notre route en faisant nos adieux à nos amis.
A Landivy nous sommes contraints de prendre une déviation à cause d'une course cycliste.
Le soleil nous accompagne agréablement sans que la chaleur ne soit gênante.
Nous roulons ensuite assez vite sur la très belle route qui va à Ernée. La route est déserte en ce dimanche après-midi mais elle doit être très fréquentée en semaine.
Après Ernée, nous prenons une petite route très jolie avec de très belles côtes en direction de Saint Hilaire.
Nous continuons par Chailland, Andouillé.
Avant Argentré, nous apercevons les grands fours à chaux de Saint Jean sur Mayenne.
Nous arrivons au gîte d'Argentré chez M. Bouglé à 17h30.
Nous sommes accueillis par le chien Buck aux dents de loup.
Nous disposons du gîte complet du 15ème siècle pour nous tous seuls, avec un joli jardin et la pièce d'eau.
Nous faisons un excellent dîner car les amis en voiture sont passés au gîte dans l'après-midi pour déposer vin, restes de gigot, fromages et desserts. Seul regret, ils ont oublié de déposer une bouteille de punch "Maurice" et nous devons nous contenter d'un jus d'orange en apéritif. Heureusement, il y a les deux bouteilles de Chateauneuf du Pape apportées par Alain.
L'ambiance "vieux célibataires faisant la vaisselle" est amusante.
Nous passons une bonne nuit bien nécessaire pour la suite du voyage.
Lundi 17 septembre 2001
Je me lève tôt pour préparer le café avec tartines grillées et lait des vaches de la ferme.
Nous partons assez tôt pour la dernière étape qui va s'avérer plus longue que prévu.
Je pousse un peu l'accélérateur entre Bazougers et La Bazouge de Chémeré, histoire de nous décrasser un peu. Le compteur ne descend pas en dessous de 35km/h avec des pointes à 39. Il faut dire que c'est plat et que nous avons le vent dans le dos.
Nous nous arrêtons à Sablé à notre bar habituel pour boire notre café.
Le soleil est revenu.
Nous repartons par des petites routes après Précigné avec l'intention de pique-niquer.
Nous trouvons du pain à La Chapelle d'Aligné et du vin à Bazouges sur le Loir.
Nous nous installons confortablement à la table de pique-nique au bord du Loir à Bazouges avec un petit soleil et vue sur le vieux pont de pierre.
Bazouges est connu pour avoir été un lieu de résidence de Baudouin Champagne, chambellan de Louis XII et de François 1er.
Nous buvons un café au bar du Bon Coin avant de repartir.
Les deux bouteilles de Bordeaux que nous avons bues contribuent au fait que je me trompe de route à la sortie de Cré, ce qui va nous faire faire une bonne dizaine de kilomètres en plus, mais aussi de nous procurer le plaisir de découvrir un champ de tabac, chose devenue rarissime dans cette région.
Nous traversons une région riche en arbres fruitiers.
L'après-midi est un petit peu dure pour Alain et Jean-Pierre.
Après une boucle par Cheviré le rouge, nous rejoignons St Quentin par Fougeré pour reprendre la route prévue.
Nous poursuivons tranquillement notre route par Genneteil et nous faisons une pause au bar de Channay sur Lathan.
Après Courcelles, Joseph Beblo et Sylvie nous dépassent en voiture. Ils reviennent de voir leur comptable à La Flèche. Nous discutons par la fenêtre ouverte sans même nous arrêter.
Nous rentrons ensuite bien groupés en contrôlant notre vitesse jusqu'à Fondettes.
Après quelques rafraîchissements divers chez moi, nous nous séparons pour un repos bien apprécié.
Nous voilà arrivés à Fondettes:
Nous avons eu de la chance d'échapper à la pluie. Le vent n'a été vraiment gênant que le vendredi matin, mais il est heureusement tombé le vendredi après-midi. Nous avons eu un bon vent de dos pour le retour, apparemment plus fort que le vendredi. La lampe brassard constitue un bon équipement de sécurité de secours bien qu'elle n'éclaire pas la route. Pas de difficultés particulières. Les moyennes réalisées sont un peu inférieures à l'année dernière, mais nous n'avons pas roulé assez groupés. Le retour qui paraissait en ligne droite sur la carte représente en fait plus de kilomètres que l'aller en raison des routes en zigzag.
|
REMERCIEMENTS à Maurice pour le punch à Danièle Reynaud pour le ravitaillement au gîte aux femmes pour les desserts à Bruno et Jean pour les huîtres à Jean-Pierre pour l'organisation à Geneviève pour l'animation à Claude pour ses vins fins à M.Lemoine pour le whisky normand au guide pour sa corde contre les sables mouvants au mouton anonyme pour son gigot de pré salé et à tous les autres sans lesquels ce week-end n'aurait pas été ce qu'il a été.
|
Statistiques
|
Vendredi |
Dimanche |
Lundi |
TOTAL |
Heure de départ: |
3h10 |
9h40 |
8h45 |
---- |
Heure d'arrivée: |
19h50 |
17h30 |
18h08 |
---- |
Distance parcourue: |
251 km |
111 km |
156 km |
518 km |
Durée totale du voyage: |
16h40 |
7h50 |
9h23 |
33h53 |
Moyenne totale: |
15,06 km/h |
14,17 km/h |
16,63 km/h |
15,29km/h |
Durée de roulage: |
13h01 |
5h11 |
6h51 |
25h03 |
Moyenne de roulage: |
19,25 km/h |
21,32 km/h |
22,8 km/h |
20,68 km/h |
Départements traversés
Indre et Loire Sarthe Mayenne Ille et Vilaine Manche Cartes Michelin utilisées n° 232 n° 59
|
COMPLEMENTS CULTURELS
La cité gallo-romaine que nous avons vue à JUBLAINS
Jublains petite rome
Les architectes romains voulaient en faire "une petite Rome ". A défaut d'avoir pu totalement réaliser leur projet ambitieux, ils ont laissé derrière eux un héritage qui, 20 siècles après, n'a pas encore livré tous ses secrets. Jublains est non seulement le principal ensemble monumental Gallo-romain conservé dans tout l'Ouest de la France, c'est aussi "une terre bénie pour les archéologues ".
Les premières fouilles à Jublains ne datent pas d'hier. C'est une mosaïque découverte par hasard en 1776, qui a mis la première fois la puce à l'oreille des chercheurs…
Dès le siècle suivant, le département de la Mayenne, précurseur en la matière, s'est passionné pour ce voyage dans le temps, en commençant à dégager les premiers bâtiments et à acquérir les terrains autour de Jublains.
La plus importante réserve archéologique de l'Ouest
Ces précautions aidant, le site est ainsi devenu la plus importante réserve archéologique de l'Ouest.
Et le temple, le théâtre, les thermes, et les nombreux autres vestiges qu'ils conservent aujourd'hui, rappellent qu'en lieu et place du petit village de Jublains, s'élevait jadis Noviodonum une vraie ville romaine. Parcourant les allées sablées qui recréent le quadrillage des anciennes rues romaines, on se croirait revenu à la fin du premier siècle, époque où Jublains fût réellement urbanisée, et on jurerait percevoir le grouillement de toute une vie, les sculpteurs grimpés sur les échafaudages, taillant le chapiteau du temple, la foule d'esclaves tirant les charrois de terre destinés à modeler les pentes du théâtre, d'autres rasant les vieilles maisons de torchis, traçant les alignements des rues, creusant les égouts …
Pas si fous ces romains
Sur ce qui était auparavant le sanctuaire gaulois du peuple des Diablintes, les urbanistes voulaient créer ici une ville qui serait rien moins qu' " une Petite Rome " . Un peu fous ces romains ? pas tant que cela. Car à défaut de réaliser totalement leur projet , ils allaient faire Noviodonum, un chef lieu aussi important que Nantes ou Angers à l'époque, et qui , de fait, commerçait directement avec Rome.
Jublains, allias Noviodonum, n'a sans doute pas encore livré tous ses secrets. Chaque année, des chantiers de fouilles s'y poursuivent (que l'on peut voir à certaines périodes lors de visites en été), et tout récemment encore de nouvelles découvertes ont été faites qui nous renseignent un peu plus sur la manière dont on vivait à Jublains il y a 2000 ans. Bref, ainsi que le dit le conservateur départemental de l'archéologie et des musées, Jacques Naveau, " cette terre est bénie pour les archéologues ".
Un Pôle Touristique et culturel
Grâce à son cadre exceptionnel, Jublains est aussi devenu un important lieu de vie et d'animations culturelles. Le festival des nuits de la Mayenne qui propose depuis 25 ans des spectacles alliés à des sites de caractère, a ainsi tout naturellement fait de Jublains une clé de voûte de sa programmation. Chaque année, elle lui confie l'accueil des spectacles, dans le cadre prestigieux de son théâtre antique. La commune de Jublains propose également principalement pendant la période estivale, de nombreuses expositions de sculptures (Marbre, Zinc et fer), peinture, poterie, artisanat d'art, etc.
Dans le village même est installé l'atelier de céramique d'Ulrike Lefebvre, "terres Diablintes" qui vous propose à l'occasion de mettre la main à la pâte. Enfin, l'association " des amis de Jublains " et le musée archéologique proposent des ateliers pédagogiques, incluant la visite du site suivie d'une initiation à la céramique ou au travail de l'archéologie.
COMPLEMENTS CULTURELS (suite)
Les fours à chaux que nous avons aperçus à St Jean sur Mayenne
L'essor économique de la région se prolonge au cours du XIXe siècle.
La pratique du chaulage des terres s'intensifie, provoquant une remarquable expansion des fours à chaux.
Cette industrie chaufournière profite de la découverte d'anthracite en 1809, rapidement exploité de manière intense.
L'enrichissement des campagnes contribue au renouvellement spectaculaire du bâti rural. La production marbrière connaît une accélération analogue et se fait désormais dans de véritables usines employant jusqu'à 600 ouvriers.
L'agriculture emploie la chaux comme engrais sur les sols trop acides pauvres en calcium.
C'est cet usage qui a provoqué l'essor des chaufours au XIXe siècle.
L'ouest de la France est riche en vestiges : la Mayenne, le Calvados, la Manche, entre autres.
La calcination du calcaire forme la chaux vive. Sa température de fusion élevée (2.575 °C) permet de l'utiliser comme revêtement réfractaire.
Enflammée elle émet une lumière très blanche autrefois utilisée pour éclairer les scènes de théâtre.
Les Romains utilisaient la chaux comme mortier. La chaux et différents silicates de calcium sont des constituants importants des ciments. Le calcaire sert de pierre à bâtir.
Si elle na pas été trop calcinée, la chaux absorbe facilement et réversiblement eau (c'est alors de la chaux éteinte) et gaz carbonique.
Cette propriété est la base de la prise des mortiers constitués de chaux, de sable et d'eau ; la chaux s'hydrate à l'air, puis se carbonate. L'ensemble se solidifie et augmente de volume lors de la prise, contribuant ainsi à la qualité des scellements.
Amélioration technique: tongues de marche pour Jean-Claude
Jean-Claude éprouve beaucoup de difficultés à se mouvoir dans les bars en raison des cales automatiques dont ses chaussures sont équipées
Les chaussures ci-dessus permettront à Jean-Claude de marcher normalement sans enlever ses chaussures équipées de cales Look.
Existent aussi en modèle
dames avec talons aiguilles.
(sur commande).
Tracé général:
Itinéraire détaillé à l'aller
FONDETTES |
Itinéraire détaillé du retour
RETOUR PREMIER JOUR
|
|
KILOMETRAGES PARTIELS |
BAS-COURTILS |
|
0 KM |
SERVONpar |
D107 |
|
VERGONCEY |
par D363 |
|
LA CROIX AVRANCHIN |
par D363 |
|
ST JAMES |
par D30 |
20 |
LOUVIGNE DU DESERT |
|
37 |
LANDIVY (MAYENNE) |
|
44 |
à partir d'ici, nous quittons la route prise à l'aller |
|
|
ST MARS |
par D31 |
|
ERNEE |
par D31 |
67 |
ST HILAIRE DU MAINE |
par petite route |
|
CHAILLAND |
par D165 |
|
ST GERMAIN |
par D144 |
|
ANDOUILLE |
par D131 |
91 |
St JEAN S/ MAYENNE |
par D131 |
|
ARGENTRE |
par D131 |
111 KM |
RETOUR DEUXIEME JOUR
|
|
|
ARGENTRE |
|
0 KM |
LOUVIGNE |
par D131 |
|
BAZOUGERS |
par D555 |
14 |
LA BAZOUGE DE CHEMERE |
par D130 |
|
CHEMERE LE ROI |
par D130 |
26 |
BALLEE |
par D24 |
31 |
LES LANDES (SARTHE) |
par petite route |
|
SABLE |
par petite route |
42 |
PRECIGNE |
par D24 |
52 |
D24 puis à gauche D100 |
|
|
LA CHAPELLE D'ALIGNE |
par D100 |
60 |
BAZOUGES sur Loir |
par D100 |
67 |
CRE |
|
|
à gauche |
|
|
ST QUENTIN les Beaurepaire |
|
77 |
CLEFS |
par D138 |
|
TURBILLY |
par D138 |
|
GENNETEIL |
par D138 |
90 |
DENEZE sur le Ludepar |
D198 |
101 |
MEIGNE le Vicomte |
par D198 |
108 |
CHANNAY sur Lathanpar D3 (I&L) |
|
115 |
COURCELLES |
par D3119 |
|
AMBILLOU |
par D3 |
130 |
PERNAY |
par D3 |
134 |
FONDETTES |
par D3 |
143 KM |
Chambre d'hôtes utilisée
Mr BOUGLE "Le Tertre" 53210 ARGENTRE tél. 02 43 37 33 16 (10 km Est de Laval) (Adresse obtenue sur le site Internet www.pour-les-vacances.com/mayenne53.htm) |
Exemple de matériel emporté:
le vélo de Michel
Si cette randonnée vous tente, vous trouverez ci-dessous la liste de l'équipement qu'il est utile d'emporter.
SACOCHE GUIDON chapeau Sachet SACOCHE GAUCHE NOURRITURE+ PLUIE +OUTILS pain Outils mécanique: pince multiprise, clef à molette, jeu de clefs 6 pans, trousse MAFAC, dérive chaîne, fil de fer, paire de patins Outils crevaison: boite réparation crevaison (rape-dissolution-rustines),
3 minutes, chambre à air, stylo. SACOCHE DROITE: VETEMENTS veste GORETEX SUR MOI: chaussettes SUR LE VELO: Sandeaux |